36 000 m² d’espaces de travail où se construisent et s’éprouvent des spectacles dédiés à l’espace public. Cet immense laboratoire scénique accueille une dizaine de structures et rassemble une chaîne de compétences et de savoir-faire autour des arts de la rue : création artistique, formation, construction scénographique, diffusion, action culturelle et médiation.
Ce projet unique, né en 1995 sous l’impulsion de Michel Crespin (alors directeur de Lieux publics) et de Pierre Berthelot (co-directeur de Générik Vapeur) est inauguré par la Ville de Marseille le 30 novembre 2013.
Implanté dans l’ancienne huilerie Abeilles, ce lieu exceptionnel de 36 000m² avec 11000m² de bâtiments, 12500m² de rues, places et passages et 12500m² d’espace verts, broussailles, jardins et rivières.
Depuis 2013, la Cité des arts de la rue accueille une dizaine de structures et rassemble une chaîne de compétences et de savoir-faire autour des arts de la rue : création artistique, formation, construction scénographique, action culturelle et médiation.
Depuis 2022 la Cité des arts de la rue est coordonnée par Lieux publics, qui assure la coordination des espaces collectifs de travail, la médiation et la communication du projet à l’échelle du territoire métropolitain.
Le projet de la Cité des arts de la rue est né en 1995, de la volonté croisée de Michel Crespin (fondateur et alors directeur depuis 13 ans du centre national de création Lieux publics) et de Pierre Berthelot (co-directeur artistique de la compagnie Générik Vapeur) de s’associer pour fonder, à Marseille, un outil à la hauteur de leur ambition pour les arts de la rue. Les deux artistes identifient leurs manques (précarité d’implantation, insuffisance de leurs espaces de construction et de répétition…) et leurs atouts, l’articulation de leur réseau respectif : Lieux publics, seul centre de création des arts de la rue en France et Générik Vapeur, compagnie de renommée nationale et internationale.
De cette conjugaison de circonstances, de personnalités et d’ouverture à des complémentarités repérées dans le tissu artistique local, naît le projet de La Cité des arts de la rue. Un projet qui ne s’appuie pas sur une simple logique de lieux mais sur une chaîne de missions capable de faire de « La Cité » un espace d’expérimentation et de développement des arts de la rue à Marseille : création, formation, construction, diffusion, médiation, une scène à l’échelle d’un morceau de ville.
Très tôt soutenue par l’État, La Cité des arts de la rue s’est progressivement imposée pour les collectivités territoriales, au 1er rang desquelles la Ville de Marseille, maître d’ouvrage, comme un outil phare d’identité et de développement culturel à l’échelle locale, nationale et internationale. Depuis sa première écriture, entre changement de site et d’envergure, création de nouvelles structures, arrivée de nouvelles personnalités, disparition d’autres, évolution des orientations de politique culturelle et des rôles État/collectivités territoriales, le projet n’aura cessé d’évoluer restant toujours cependant « lieu de création et de développement des arts de la rue ».
36 000 m² d’espaces de travail où se construisent et s’éprouvent des spectacles dédiés à l’espace public. Cet immense laboratoire scénique accueille une dizaine de structures et rassemble une chaîne de compétences et de savoir-faire autour des arts de la rue : création artistique, formation, construction scénographique, diffusion, action culturelle et médiation.
Ce projet unique, né en 1995 sous l’impulsion de Michel Crespin (alors directeur de Lieux publics) et de Pierre Berthelot (co-directeur de Générik Vapeur) est inauguré par la Ville de Marseille le 30 novembre 2013.
Implanté dans l’ancienne huilerie Abeilles, ce lieu exceptionnel de 36 000m² avec 11000m² de bâtiments, 12500m² de rues, places et passages et 12500m² d’espace verts, broussailles, jardins et rivières.
Depuis 2013, la Cité des arts de la rue accueille une dizaine de structures et rassemble une chaîne de compétences et de savoir-faire autour des arts de la rue : création artistique, formation, construction scénographique, action culturelle et médiation.
Depuis 2022 la Cité des arts de la rue est coordonnée par Lieux publics, qui assure la coordination des espaces collectifs de travail, la médiation et la communication du projet à l’échelle du territoire métropolitain.
Le projet de la Cité des arts de la rue est né en 1995, de la volonté croisée de Michel Crespin (fondateur et alors directeur depuis 13 ans du centre national de création Lieux publics) et de Pierre Berthelot (co-directeur artistique de la compagnie Générik Vapeur) de s’associer pour fonder, à Marseille, un outil à la hauteur de leur ambition pour les arts de la rue. Les deux artistes identifient leurs manques (précarité d’implantation, insuffisance de leurs espaces de construction et de répétition…) et leurs atouts, l’articulation de leur réseau respectif : Lieux publics, seul centre de création des arts de la rue en France et Générik Vapeur, compagnie de renommée nationale et internationale.
De cette conjugaison de circonstances, de personnalités et d’ouverture à des complémentarités repérées dans le tissu artistique local, naît le projet de La Cité des arts de la rue. Un projet qui ne s’appuie pas sur une simple logique de lieux mais sur une chaîne de missions capable de faire de « La Cité » un espace d’expérimentation et de développement des arts de la rue à Marseille : création, formation, construction, diffusion, médiation, une scène à l’échelle d’un morceau de ville.
Très tôt soutenue par l’État, La Cité des arts de la rue s’est progressivement imposée pour les collectivités territoriales, au 1er rang desquelles la Ville de Marseille, maître d’ouvrage, comme un outil phare d’identité et de développement culturel à l’échelle locale, nationale et internationale. Depuis sa première écriture, entre changement de site et d’envergure, création de nouvelles structures, arrivée de nouvelles personnalités, disparition d’autres, évolution des orientations de politique culturelle et des rôles État/collectivités territoriales, le projet n’aura cessé d’évoluer restant toujours cependant « lieu de création et de développement des arts de la rue ».